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ENSEIGNEMENT EN FRANCE: HISTOIRE, PRINCIPES ⇐ ПредыдущаяСтр 3 из 3
L’organisation actuelle de l’enseignement en France repose surun certain nombre de lois, principes et traditions qui remontent loin dans le tempset Г on peut hé siterentre bien des dates pourfixer la naissance du systè me é ducatif. L’an 789, dé but de la renaissance carolingienne: l’Empereur Charlemagne stipulequ’ « il doit y avoir des é coles de lecture pour les enfants et que tes psaumes, les notes et la grammaire seront enseigné s dans tous les é vê ché s ». Ce ré seaud’é coles é taitsurtout destineaux futurs prê treset aux futurs fonctionnaires: l’enseignement, s’il n’est encore ni laï queni obligatoire, y est dé jà gratuit. En 1215 Robert de Sorbon fonde la premiè re université de Paris. Elle porte son nom. C’est la Sorbonne. Le Pape Innocent III, ancien é lè ve des É coles de Paris, lui reconnaî t une quasi-autonomie, par ré fé rence, peut-ê tre, au sensdu mot latin universitas, qui signifiecorporation, association. Le XVIIè me siè cle est une pé riode de dé clin pour l’université qui se caracté rise par un dé calagede ses formations par rapportaux besoins de la classe sociale en pleine ascension: la bourgeoisie. Les jé suites, au contraire, intensifient et diversifientleur enseignement, si bien que le nombre d’é lè ves de leurs collè ges ne cesse de croî tre. La Ré volution a jeté basle systè me d’instruction mis en placepar l’É glise. Le marquis de Condorcet, mathé maticien et dé puté à la Convention, dresse un vaste pland’instruction publique. Arrê té avec les girondins, il meurt deux ans plus tard sans avoir eu le temps de le mettre à exé cution. De 1802 à 1808, l’empereur Napolé on cré e les lycé es, et l’Université impé riale. Celle-ci, organisé e de faç on identique dans diffé rentes ré gions est un ciment d’unité nationale. En 1833, on fait obligationà chaque commune d’ouvrir une é cole primaire– de garç ons. Le ré seau des é colesnormales d’instituteurs ~ plus tard d’institutrices est mis en place dans tous les dé partements. En 1881, Mes Ferry, ministre de l’Instruction publique, pose le principe de gratuité et de laï cité et impose l’obligation scolaire. Au travers des avatarsde nombreuses ré formes ulté rieures, l’enseignement franç ais reste inspire par quelques principes fondateurs: - gratuité de renseignement dans les é coles et é tablissements publies; - laï cité : l’enseignement public se doit ê tre neutre en matiè re de religion, de philosophie qt de politique; - liberté : la Ré publique admet la coexistencelé gale d’un service public et d’é tablissements privé s; - obligation scolaire é tendueà tous les enfants de 6 à 16 ans; - monopole de l’É tat dans l’organisation des examens publics et la dé livrance des diplô meset grades universitaires. Модуль 4 Texte 1 DANS UNE GRANDE VILLE Le train entre en sifflant dans l’immense gare couverte. Il fait un vacarme effrayant. Paul ouvre de grands yeux et Aline a un peur. Le train s’arrê te. Entrainé s par maman, bousculé s par la foule, Paul et Aline se dirigent vers la sortie. Les voilà sur le boulevard. Que les maisons sont hautes! Que les rues sont larges! Paul compte cinq ou six é tages. Des magasins aux vitrines é tincelantes occupent le rez-de-chuassé e. Qu’ils sont beaux! une foule de gens se presse devant l’entré e d’un ciné ma. Des dames en toilettes magnifiques et messieurs en habit noir entrent au thé â tre. Dans l’avenue des automobiles se suivent sans arrê t. Aux carrefours elles s’arrê tent er se rassemblent par dizaines. «Vite! Traversons le passage clouté » les trottoirs sont encombré s par les passants nombreux et pressé s. Quelle animation! «Maman, ne me lâ che pas la maisn.» Aline a peur de se perdre. Ils passent devant une grande cathé drale toute orné e de sculptures. Et les voici dans le square aux vertes pelouses, aux massifs de fleurs multicolores et aux alllé s de fin gravier. Paul trouve la ville bien belle, mais trop mouvementé e. Elle l’effraye un peu.
Texte 2 COMMENT SE DÉ PLACER Á PARIS Le moyen le plus ré gulier et le plus commode c’est le mé tro. Il fonctionne de 5 heures à 1 heure 15. Il y a le mé tro urbain et le mé tro ré gional, R.E.R. Le ré seau du mé tro parisien est trè s dense: 16 lignes avec plus de 360 stations. C’est un nombre impressionnant. Il serait trè s difficile de trouver la bonne direction sans un plan. Mais, en gé né ral, un plan de mé tro figure à l’exté rieur et à l’inté rieur des stations. On pourrait mê me le demander au guichet du mé tro, où l’on vend des tickets; mais il ne faudrait pas acheter des tickets un par un. Ç a coû te plus cher. Pour faire des é conomies il vaut mieux acheter un carnet: ses 10 tickets sont utilisables aussi bien dans l’uatobus que dans la mé tro. Ou encore, on pourrait acheter une carte orange, hebdomadaire ou mensuelle. Tout dé pend de la duré e de votre sé jour à Paris. Si vous y restez environ un mois, vous avez l’inté rê t à acheter la carte orange mensuelle. Elle permet de voyager aussi souvent que vous voulez en train, mé tro; R.E.R. et autobus R.A.T.P. Mais si vous voulez vous dé placer uniquement en autobus vous pouvez vous procurer le billet chez le machiniste ou à un bureau de vente des lignes d’autobus. Pour trouver un arrê t d’autobus, c’est trè s facile. A chaque arrê t il y a un potelet sur lequel figurent les numé ros de lignes, le nom de l’arrê t. Contrairement au mé tro, le prix de l’autobus dé pend du nombre des sections parcourues. Suivant le trajet on paie un ou deux tickets. Le fonctionnement de toutes les lignes est assuré dè s 7 heures. La plupart des bus d’arrê tent à 20 heures 30.Mais il y a ceux qui fonctionnent jusqu’à 21 heures 30 et mê me jusqu’à 0 heures 30. De nombreuses lignes ne fonctionnent pas les dimanches et les jours fé rié s. On pourrait ajouter aussi que l’autobus c’est le moyen de transport agré able aux heures creuses: il permet de voir Paris. A Paris il y a aussi beaucoup de stations de taxi. Mais à certaines heures dans le centre c’est assez difficile d’en trouver un. Les Parisiens ont pris l’habitude de faire appel aux radio-taxis. En gé né ral, le taxi est le transport le plus rapide, pourtant aux heures de pointe, avec la circulation qui est trè s intense, avec tous les embouteillages vous risquez d’ê tre en retard. C’est le mé tro qui reste le moyen le plus sû r.
Mots et expressions inconnus: Urbain-городской R.E.R.(ré seau express ré gional)-скоростное метро, связывающее Париж с пригородом Le ré seau-сеть On vend des tickets-продаются билеты Ç a coû te-это стоит Le carnet-блокнот Une carte orange-проездной билет (carte) hebdomadaire-недельный проездной билет (carte) mensuelle-месячный проездной билет R.A.T.P. (ré gle autonome des trasnports parisiens)-автономное управление парижского городского транспорта Vous pouvez vous procurer-вы можете купить Un potelet-столб Des sections parcourues-от количества остановок Aux heures creuses-в свободное время Aux heures de pointe-в часы пик
Модуль 5 Texte 1 LE THÉ Â TRE YANKA KOUPALA En 1920 à Minsk est cré é le Premier Thé â tre Dramatique Bié lorusse d’Etat (à partir de 1945-Thé â tre d’Etat Bié lorusse Yanka Koupala). C’est vraiment le premier avec une scè ne permanente, une troupe permanente et ses metteurs en scè ne permanents. Le thé â tre est animé par I. Mirovitch, dramaturge de talent, metteur en scè ne et acteur. Des acteurs tels que V. Krylovitch, B. Platonov, G.Glé bov forment le noyau de la troupe. On monte des piè ces classiques bié lorusses, mais aussi des piè ces nouvelles, telles que « La soiré e d’é té » de M. Tcharot, « Le forgeron-gé né ral », « Maché ka », « Kastouss Kalinovski » et « La carriè re du camarade Bryzgalina » de I. Mirovitch; plus tard, « La Patrie » de K. Tchorny, « La mort du loup » de E. Samouilionok, « Les partisans » et « Celui qui rit dernier » de K. Krapiva. On met en scè ne des piè ves de Gorki et de Calderon, de Moliè re et de Shaw. C’est vraiment un thé â tre profond, d’un immense talent. Beaucoup d’anné es plus tard il est resté aussi un des meilleurs thé â tres du pays.
Texte 2 KHATYN Le Mé morial de Khatyn se trouve à 54 km de Minsk sur la route de Logoisk. A cet emplacement se trouvait jadis un petit village bié lorusse de 161 habitants. Le 22 mars 1943, le village a é té cerné par des troupes SS. Ils parqueront toute la population-femmes, veillards, enfants, « coupables » d’avoir aidé les partisans, dans une grange en bois au centre du village qu’ils ont incendié, ainsi que les 26 maisons de la localité. Ceux qui, vé ritables torches vivantes, s’arrachaient au brasier é taient mitraillé s à bout portant. Il n’y a eu qu’un survivant, Josef Kaminski, resté par miracle en vie aprè s avoir perdu connaissance à cause de ses blessures. Les autres habitants dont 75 enfants, ont pé ri dans les flammes ou sous les balles des SS. Le village de Khatyn n’existe plus. On a amé nagé à son emplacement un Mé morial qui perpé tue par ses monuments le souvenir de la tragé die de Khatyn et de 186 autres villages bié lorusses.A l’emplacement des 26 maisons incendié es on a placé 26 stè les qui rappellent des cheminé es, surmonté es de cloches. Des plaques de marbre portent gravé s les noms et pré noms de ceux qui ont habité ces maisons. La sculpture de granit noir de Josef Kaminski portant sur ses bras é tendus son fils mort accueille ceux qui arrivent à Khatyn. Au fond du Mé morial se trouve un cimetiè re où sont enterré es les cendres de 186 villages. Au cours de l’occupation hitlé rienne, 2230000 personnes, un quart de la population, ont pé ri en Bié lorussie. C’est pourquoi aux quatre coins d’une place dallé e de granit il ne pousse que trois bouleaux. Au lieu de quatriè me, la Flamme é ternelle brû le en souvenir de chaque quatriè me citoeyn disparu de la Bié lorussie hé roique.
DOUDOUTKI Une excursion à Doudoutki vous permettra de mieux connaî tre les racines du peuple bié lorusse. Ré nové par des enthousiastes ce village ethnique bié lorusse vous montre comment le mode de vie contemporain et les meilleures traditions cohabitent dans notre socié té. Doudoutki est un musé e ethnographique à ciel ouvert unique en son genre. Il est situé à 40 km de Minsk. Ici vous pourrez voir un ancien village bié lorusse authentique, plonger dans son atmosphè re, contempler le travail de ses artisans. Vous visiterez l’atelier d’un potier où le maî tre vous montrera son art, une ancienne boulangerie, où vous pourrez goû ter de frais pain de seigle, une ancienne forg, un atelier de menuiserie. On vous montrera un alambic pour la pré paration de l’eau de vie et une dé gustation vous sera proposé e. Vous verrez aussi un moulin à vent toujours en é tat de marche jusqu’à nos jours. Une fois la visite du musé e et des ateliers terminé e vous pourrez passer dans une auberge connue pour sa cuisine traditionnelle. En é té vous sont proposé es des promenades é questres et en hiver des promenades en traî neaux dans la neige. Модуль 6 Texte 1 LE BÉ LARUS PENDANT LA GRANDE GUERRE NATIONALE Le 22 juin 1941, sans dé claration de guerre, l’Allemagne nazie attaqua l’Union Sovié tique. La Grande Guerre nationale (1941-1945) avait à peine commencé que la Bié lorussie devint un champ de bataille. Vers la fin du mois d’aoû t 1941, les villes et les villages bié lorusses furent envahis par les unité s de la Gestapo, de la gendarmerie, de la police. Dè s les premiers jours de l’occupation, le peuple lutta contre les fascistes. La ré sistance prit une dimension nationale: 1108 formations groupant plus de 500000 combattants. Malgré l’occupation, les partisans contrô laient de vastes zones. Le terme de « guerre du rail » est né en Bié lorussie. Les voies alimentant les lignes fascistes devaient ê tre dé truites. Dans les villes furent organisé s des groupes clandestins qui menaient une lutte courageuse contre les occupants. La guerre é prouva terriblement le pays. Plus de 2200000 habitants tué s, environ 300000 autres envoyé s aux travaux forcé s en Allemagne. Plus de la moitié des richesses nationales avaient é té perdues. Les hitlé riens avaient dé truits 209 villes, 9200 villages, des milliers d’entreprises industrielles. Jamais au cours de son histoire sé culaire, le pays n’avait connu d’aussi terribles ravages. Cependant, aprè s la libé ration, dans le pays dé vasté, la vie reprenait ses droits. La Bié lorussie s’engagea rapidement dans la voie du dé veloppement de son é conomie, de sa culture. Texte 2 LE NOM DU BÉ LARUS
Le Bé larus, la Bié lorussie. D’où provient ce nom? Il y a à ce sujet plusieurs explications. En voice deux. La premiè re. Autrefois, les gens de la campagne s’habillaient de blanc, é taient blonds, pâ les de peau. D’où à la Russie il y avait des gens blancs. Voici la deuxiè me explication. Elle ne contredit pas la premiè re. Lorsque les hordes tatares et mongoles ont envahi les terres slaves, le peuple bié lorusse a ré ussi à repousser les barbares aprè s avoir arrê té leur marche. Voilà pourquoi cette partie de la Russie de Kiev est resté e « blanche », c’est-à -dire « franche », n’a pas é té souillé e par le contact des Tatars. Texte 3 TADEUZ KOSCIUSZKO
La tentative entreprise par Tadeuz Kosciuszko pour reconqué rir l’indé pendance de la Pologne (1794) finit par un é chec, malgré les victoires remporté es au dé but. La noblesse polonaise est profondé ment dé ç ue du dé mocratisme de Kosciuszko. Surtout elle ne peut admettre son « Universal » dans lequel le grandhomme promet aux paysans la liberté, la ré duction des journé es de travail et la punition de tous ceux ennemis de la patrie et de l’insurrection. Griè vement blessé dans la bataille de Motsé yavitchy Kosciuszko est pris et enfermé dans la forteresse de Petropavlovsk. Libé ré en 1796, Tadeuz Kosciuszko part pour l’é tranger. Il reste toujours fidè le aux principes ré publicains et dé mocratiques. Tadeuz Kosciuszko est mort en 1817 en Suisse. Tadeuz Kosciuszko est né prè s de Kossovo qui est situé tout prè s de Slonime. Sa maison n’existe plus, mais on peut toujours voir s’é lever au-dessus des champs de seigle de son pays natal un vieux peuplier, té moin du temps passé. Un peu partout, on peut trouver d’autres souvenirs de ce temps. Comme, par exemple, cette pierre à Zalessié, sur laquelle le compositeur M.Oginski a gravé ces mots: « Aux ombres de Kosciuzko ».
F. BOGOUCHÉ VITCH, K.KALINOVSKI En 1863 la Pologne, la Lituanie et certaines ré gions de l’Ukraine s’insurgent. La ré forme agraire, la « libé ration » n’est qu’une tromperie. Partout s’organisent des cercles clandestins, les hommes recherchent des armes, on forme des dé tachements dans les forê ts. Le jeune instituteur du village de Datichki, F. Bogouché vitch, part aussi dans les bois. L’aile dé mocratique de l’insurrection é tait dirigé par Kastouss Kalinovski (1838, Mastavlany-1864, Vilna)-poè te dé mocrate ré volutionnaire, patriote ardent, publiciste, é diteur du journal bié lorusse clandestin « La vé rité paysanne ». Les insurgé s occupent la bourgade de Souroje, libè rent Proujany et Gorki. De nombreuses batailles ont lieu. Mais les forces é taient iné gales. On a pendu et on a fusillé beaucoup de monde, des milliers ont é té envoyé s en Sibé rie. Un traitre livre Kalinovski. Le 10 mars 1864 il est pendu à Vilna. Bogouché vitch a é té blessé à la jambe pendant la bataille de Souvalki. Il se cache un certain temps chez des sympathisants, puis il part pour l’Ukraine. Il é tudie le droit dans un lycé e de Nié jinsk et travaille en qualité de juge d’instruction. En 1884 il arrive à Vilna où commence à travailler au barreau; il dé fend inlassablement le peuple, on l’appelle « l’avocat des paysans ». Puisque la langue bié lorusse est interdite, Bogouché vitch publie ses livres à l’é tranger: « Le chalumeau bié lorusse » à Cracovie en 1891, « L’archet bié lorusse » quelque part à l’é tranger en 1894. Durant toute sa vie ce grand bienfaiteur du peuple a servi son peuple, a lutté pour que la justice s’installe dans les maisons des paysans.
TIOTKA Parmi les poè tes du dé but du XXe siè cle la place d’honneur est occupé e par Tiotka-Alaï se Pachkié vitch-Keirys (1876-1916). Pé dagogue, socialiste, auteur de vers ardents pour la dé fense du peuple. Toute sa vie, elle lutte contre la grande injustice. Ses armes ce sont la chanson et la propagande. Fuyant la police, elle s’installe à Lvov et là -bas publie ses recueils de vers-« La fin de al liberté » et « Le violon bié lorusse »-puis « Premiè res lectures pour les petits Bié lorusses » qui est le premier recueil de morceaux choisis en langue maternelle. La poé tesse meurt dans la plé nitude de ses forces, d’une maladie subite. YANKA KOUPALA Yanka Koupala (1882-1942) est un des sommets de la poé sie bié lorusse. Pas seulement grâ ce à son gé nie, mais aussi parce que, comme Bogouché vitch, il a toujours é té avec le peuple, il a pleinement exprimé la caractè re, l’â me, les voeux de ce peuple; il est sorti de ce peuple et il y est retourné avec tout son oeuvre. La principal de ce que a influencé l’oeuvre de Koupala, c’est la chanson populaire bié lorusse, les lé gendes, la vie ré elle de la Bié lorussie. Son premier vers-« Le paysan »-repré sente le programme de toute sa vie. Son premier recueil-« La flû te »- est vé ridique et tragique à la fois; c’est pour cela qu’il est interdit par le pouvoir. Un amour profond pour le peuple caractè rise le poè te et tout son oeuvre. On le voit dans la poè me « Le Kourgan » et dans une de ses oeuvres la plus slave, d’une audacieuse gaî té « Pavlinka ». Koupala aprè s Bogouché vitch a ré alisé une des choses les plus importantes: il a ajouté un jet d’eau pure à la source de la poé sie populaire.
Traduisez en franç ais: -защищать народ -служить своему народу -бороться против несправедливости -бороться за независимость -выразить желание народа -глубокая любовь к народу -повлиять на творчество
Texte 4 LES PERSONNALITÉ S É MINENTES DU BÉ LARUS. SIMÉ ON POLOTSKI
La passé et le pré sent de notre pays est riche en noms connus. Quand on parle des grands hommes bié lorusses, on se souvient des humanistes, philosophes, savants de l’é poque de la Renaissance, tels que le premier imprimeur bié lorusse Francisk Skorina, son adepte Piotr Mstislavets, l’anticlé rical Simé on Boudny, et d’autres. Les Bié lorusses sont fiers de leur litté rature dé mocratique dont les repré sentants sont Yanka Koupala, Yakoub Kolass, Tiotka, Maxime Bogdanovitch, Maxime Garetski. Les é crivains contemporains, tels que Vassil Bykov, Aless Adamovitch, Ivan Chamiakine continuent les meilleures traditions de la litté rature nationale bié lorusse qui a toujours é té lié e à la vie sociale, à l’activité civilisatrice. Au XVIIe siè cle apparaî t la poé sie laï que. Et, bien sû r, l’apogé e de la poé sie bié lorusse ancienne est representé e par Simé on Polotski (Samuil Emé lianovitch Piatrovski-Sitnianovitch), poé te, publiciste, dramaturgue, philosophe (1629-1680). Il a é tudié (de 1640 à 1650) à l’Acadé mie de Kiev; il a commencé à é crire des vers en bié lorusse, « dans la langue qui é tait habituelle à la maison », parfois il les é crivait en polonais; il a é galement à Kiev. Quand il a é té obligé de s’exiler à Moscou, il est devenu le fondateur de la poé sie russe. Il y é tait connu pour son oeuvre civilisateur et ses activité s pé dagogiques. Il a é laboré les fondements de la versification russe et formé toute une é cole de poè tes(K. Istomine, P.Bouskaev, S. Medvé dev). C’est lui qui a introduit à Moscou la notion mê me de « thé â tre » et a é crit les premiè res piè ces. En partant de ces dé buts la dramaturgie se dé veloppe rapidement. Simé on Polotski é tait un partisan convaincu du dé veloppement des sciences laï que et d’un rapprochement avec les forces progressives de l’Europe; c’est lui qui a pré paré le terrain sur lequel paraissaient moins é tonnantes les idé es de V. Galitsina qu’il é tait impossible de vivre en se retranchant du reste du monde.
Модуль 7 Texte 1 PARIS, UN PEU D’HISTOIRE
L’é tablissement primitif de la tribu celtique des Parisii dans une î le de la Seine a pris le nom de Lutè ce à l’é poque romaine. On nommait Lutè ce un village de pê cheurs et de mariniers dans une î le basse appelé e la Cité. C’est avec Jules Cé sar qu’on trouve pour la premiè re fois la mention de la Cité. Lutecia (Lutè ce) c’est le nom que lui donne Cé sar. Ce nom signifie «habitation au milieu des eaux». Dè s 358 la ville s’est appelé e Civitas Parisiorum, ce qui signifie «ville des Parisii», puis Parisia et enfin tout simplement Paris. La situation de l’Ile de la Cité, entouré e de forê ts et de collines, é tait favorable au dé veloppement de la ville. La population vivait d’abord presque exclusivement du fleuve. C’est pourquoi le bateau est resté le Symbole de Paris. Il se trouve aussi dans les armes actuelles de la ville. La devise de la ville est é crite en latin «Fluctuâ t né e mergitur» ce qui signifié «Flotte mais ne sombre pas». Actuellement l’agglomé ration’ parisienne compte 10 millions d’habitants environ. A tous points de vue, Paris est la capitale de la France. Paris est la capitale politique et groupe tous les organes du gouvernement. Capitale intellectuelle, Paris possè de l’Université, la plupart des Grades Ecoles, les thé â tres les plus renommé s, des musé es. Paris est aussi la capitale internationale, le siè ge de 272 organisations internationales, une ville de grands congrè s, une capitale du tourisme.
Texte 2 Originaire d’un village du Mali (Afrique de l’Ouest), la famille Diallo occupe un appartement dans un immeuble parisien. Les voisins franç ais se plaignent souvent car ils ont du mal à supporter certaines habitudes des Diallo. Peu d’é trangers savent comment est organisé l’inté rieur d’un appartement parisien. Banales pays chauds, on vit dehors. La maison sert presque uniquement pendant la nuit ou quand il pleut.Mê me les Franç ais habitant à la campagne peuvent difficilement imaginer comment on vit à Paris. Pour eux, c’est un mystè re que de savoir où l’on stocke les pommes de terre et où jouent les enfants. Et il est difficile de comprendre pourquoi on n’a pas le droit de faire sé cher le linge dehors. Les appartements parisiens sont amé nagé s pour des familles franç aises, comprenant les parents et les enfants. Or, dans nombre de pays, les grands-parents vivent sous le mê me toit que leurs petits-enfants. De plus, les Franç ais ont inventé des normes dé terminant une surface minimale habitable: tant de mè tres carré s pour tant de personnes. Ces normes sont é tranges pour des populations qui pensent d’abord qu’il ne faut laisser personne dans la rue pendant la nuit et qui sont donc toujours prê tes à accueillir un grand nombre de personnes. Dans la culture europé enne, on dort à des heures fixes, dans le silence et dans l’obscurité. Le bruit ou la pleine lumiè re empê chent de dormir. Mais il y a des pays où l’absence de bruit ou de lumiè re est ressentie comme l’absence des autres, ce qui est angoissant et peut empê cher de dormir. Les bruits et les odeurs sont des é lé ments importants des relations de voisinage. Ce sont aussi des é lé ments trè s subjectifs. Dans les diffé rentes cultures, on apprend à les distinguer. On les remarque ou on ne les remarque pas, selon qu’ils font ou non partie de notre environnement habituel. On les aime ou on ne les aime pas, selon qu’ils sont associé s à des é vé nements agré ables ou dé sagré ables.
Модуль 8 Texte 1 LES HABITANTS DE LA FRANCE La population de la France compte prè s de 56 millions d’habitants. Historiquement, la population franç aise c’est formé e à la suite du mé lange des tribus et des peuplades celtes et germaniques avec les Romains. Il y a prè s de deux mille ans la France s’appelait la Gaule et ses habitants les Gaulois. Au Ier siè cle avant notre è re la Gaule é tait envahie par les armé es de Rome sous le commendement de Jules Cé sar. A la fin du Ve et au dé but du VIe siè cle l’ancienne Gaule a é té conquise par les Francs, tribus de Germanie. Et depuis le IXe siè cle le territoire de l’ancienne Gaule s’appelle Francia, ce qui signifie «pays occupé par les Francs» et puis la France. Outre les Franç ais, dans les ré gions pé rifé riques du pays habitent depuis bien longtemps, les groupes ayant leurs particularité s ethniques et linguistiques. Ce sont Alsaciens, Bretons, Flamands, Corses, Catalans, Basques. Depuis un siè cle une grande part dans la composition nationale de la France est constitué e par les é trangers. Texte 2 UNE É CONOMIE DIVERSIFIÉ E La France n’est pas un « super-grand » ni par sa superficie, ni par sa population, ni par son PNB (produit national brut). Elle garde cependant une position importante. Elle est une des grandes puissances é conomiques mondiales avec des ré ussites dans la haute technologie. Elle est un grand pays exportateur. L’industrie franç aise comprend des secteurs traditionnels qui subissent une forte restructuration et sont transformé s par l’automatisation (sidé rurgie, mé tallurgie, automobile, textile), et des secteurs lié s aux nouvelles technologies. Elle dé pend de l’é xté rieur pour ses matiè res premiè res et son é nergie, à l’exception de l’é lectricité dont 70 % provient de centrales thermiques nuclé aires. De nouvelles industries se dé veloppent dans des centres de recherches cré é s ré cemment, les technopoles.On compte en France quatre technopoles en service ou prè s d’ê tre terminé es. Chacune d’entre elles veut ê tre un lieu idé al d’é changes entre la recherche (les laboratoires), la formation(l’Université ) et la production(les entreprises). L’agriculture franç aise est un secteur moderne, mé canisé et à forte productivité .Elle repré sente prè s de tiers de la superficie agricole utile de la Communauté é conomique europé enne (CEE).Elle fournit 28 % de la production communautaire, dont la moitié en é levage (viande, lait et fromage). Le reste est constitué de blé, vin, sucre et cultures industrielles. Avec ses trois faç ades maritimes, la France n’occupe pourtant que la 4-iè me place dans la CEE pour la pê che. Celle-ci devient de plus en plus industrialisé e(congé lation et transformation des produits). Les services occupent une place de plus en plus importante dans l’activité é conomique. Les grands services publics: transports, té lé communications, postes, é lectricité, eau, se trouvent à la pointe des té chnologies(Minitel, et mé tro ont une ré putation mondiale). Depuis une trentaine d’anné es, le tourisme s’est considé rablement dé veloppé en France. 32 millions de Franç ais prennent des vacances(le plus souvent en é té ) et 36 millions d’é trangers viennent en France chaque anné e.
PNB (produit national brut)- валовый национальный продукт des ré ussites dans la haute technologie-успехи в области высоких технологий subissent une forte restructuration-подвергаются существенной реорганизации sidé rurgie f-черная металлургия centrale f thermique nuclé aire-атомная станция technopole f-технополис en service-действующий à forte productivité -высокопроизводительный Communauté é conomique europé enne (CEE)-Европейское эклномическое сообщество culture f industrielle-техническая культура avec ses trois faç ades maritimes-со своими тремя выходами в море congé lation f-замораживание transformation f des produits-переработка продуктов Minitel-минитель(абонентская телеинформационная сеть) TGV-скоростной поезд
Texte 3 INSTITUTIONS En France d’aujourd’hui, les pouvoirs politiques sont organisé s par la constitution de 1958 (la onziè me de l’histoire de France). On l’appelle aussi constitution de la 5-è me ré publique. La France est une Ré publique où tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race ou de religion, sont é gaux devant la loi. La Constitution assure un bon fonctionnement de la vie publique, organise et repartit les pouvoirs politiques (exé cutifs et lé gislatifs) entre trois « acteurs »: le pré sident de la Ré publique, le Gouvernement et le Parlement. Le pré sident de la Ré publique (ou chef de l’Etat) est é lu pour sept ans au suffrage universel direct. Il nomme le Premier ministre et, sur la proposition de celui-ci, les membres du gouvernement. Il pré side le Conseil des ministres, promulgue les lois et peut soumettre au ré fé rendum des projets de lois; il peut, aprè s consultation du Premier ministre et des pré sidents des Assemblé es, prononcer la dissolution de l’Assemblé e nationale; il dirige la diplomatie, il né gocie les traité s, dé signe les ambassadeurs franç ais, accueille les ambassadeurs des autres pays. Il est le chef des armé es; il nomme les hauts fonctionnaires civils et militaires. Il a des pouvoirs exceptionnelsen cas de crise. Il sé journe au palais de l’Elysé e à Paris. Le Gouvernement est composé du Premier ministre et d’un nombre variable de ministres et de secré taires d’Etat. Le premier ministre dispose des pouvoirs é tendus: il assure la liaison entre le pouvoir exé cutif et le Parlement; il est responsable de la Dé fense nationale.Les ministres les plus importants sont ceux de l’Economie et des Finances, de l’Inté rieur, des Affaires é trangè res, de la Justice, de l’Education nationale, de la Dé fense. Le Premier minitre ré side à l’hô tel Matignon à Paris. La Parlement est bicamé ral, il est constitué de deux assemblé es: l’Assemblé e nationale (on dit aussi la Chambre des dé puté s) et le sé nat. Elles ont le pouvoir lé gislatif: la loi est adopté e sur dé cision des deux assemblé es. Les assemblé es se ré unissent au moins deux fois par an en sessions ordinaires(automne et printemps). L’Assemblé e nationale compte 577 dé puté s, é lus pour cinq ans, au suffrage universel. Le Sé nat compte 315 sé nateurs; il est é lu pour neuf ans-avec renouvellement triennal-au suffrage indirect. Le Parlement vote les lois, ratifie les traité s internationaux. Souvent, les Franç ais disent qu’en France, c’est Paris qui dé cide tout. La plus petite opé ration administrative, dans le village le plus é loigné de la capitale, doit ê tre dé cidé e à Paris. On dit aussi que la France est le pays le plus centralisé de l’Europe à la diffé rence des pays de type fé dé ral: la Suisse, la Grande-Bretagne ou la ré publique fé dé rale d’Allemagne. La France est divisé e en 21 ré gions et la collectivité territoriale de Corse. La ré gion est gouverné e par le Conseil ré gional. Pré sident et conseillers sont é lus au suffrage universel. La France compte 96 dé partements mé tropolitains, 4 dé partements d’outre-mer(Guadeloupe, Martinique, ré union, Guyane) et des territoires d’outre-mer(Polyné sie, Nouvelle Calé donie, Saint-Pierre et Miquelon et quelques autres). Le dé partement est gouverné par le Conseil gé né ral.Les dé partements sont divisé s en arrondissements (327), cantons (3828) et communes (36551). L’administration communale est assuré e par le maire, assisté d’un conseil municipal.
Sans distinction-без различия promulguer les lois-утверждать законы soumettre au ré fé rendum des projets de lois-выносить на референдум né gocier les traité s-участвовать в переговорах dé signer les ambassadeurs-назначать послов accueillir les ambassadeurs-принимать послов nommer les hauts fonctionnaires-назначать высших чиновников pouvoirs m pl exceptionnels-чрезвычайные полномочия disposer des pouvoirs é tendus-обладать широкими полномочиями ê tre responsable de la Dé fense nationale-отвечать за национальную безопасность ministre m de l’Inté rieur-министр внутренних дел bicamé ral-двухпалатный Chambre f des dé puté s-палата депутатов adopter une loi –принимать закон avec renouvellement triennal-с обновлением каждые три года ratifier un traité -ратифицировать договор collectivité f territoriale-административно-территориальное образование
Appendice 2 (Clé s) Модуль 1 Test d’entré e 1 (Входной тест) (уровень 2)
Test 2 (Итоговый тест) (уровень 3)
Модуль 2 Test d’entré e 3 (Входной тест) (уровень 2)
Test 4 (Итоговый тест) (уровень 3)
Модуль 3 Test d’entré e 5 (Входной тест) (уровень 2) Partie A. 1.-tribunal 2.-procurer 3.-prison 4.-permis 5.-gouvernement 6.-infraction 7.-amende 8.-salaire 9.-ministre Partie B. II. serez; obtiendrez; sera; ferez; appré ciera; ce sera; contrariera; manqueront; viendra; viendra; se rè gleront; aurez; pourrez; devront; faudra; ré servera; dé cevront; saurez; surviendra; recevrez; surprendront; connaî trez; savourerez. II. 1.- rendu 2.-plu 3.-sortie 4.-resté e 5.-fait 6.-lu 7.- reç u 8.-venue 9.-dé jeuné 10.-allé es 11.- invité 12.-tenu 13.-vu 14.-disparu 15.-fâ ché e
Test 6 (Итоговый тест) (уровень 3)
Partie A. 1.-12, 2.-11, 3.-10; 4.-9, 5.-8, 6.-7, 7.-6, 8.-5, 9.-4, 10.-3, 11.-2, 12.-1 Partie B. 1.-F, 2.-F, 3.-V, 4.-V, 5.-V, 6.-V, 7.-F, 8.-F, 9.-V
Модуль 4 Test d’entré e 7 (Входной тест) (уровень 2) Partie A. 1-b; 2-a; 3-c; 4-a; 5-c; 6-a; 7-c; 8-c; 9-a; 10-b, 11-a; 12-b; 13-a; 14-c
Partie B. 1-c; 2-c; 3-b; 4-d; 5-a; 6-d; 7-b; 8-a; 9-b; 10-b; 11-b; 12-a
Test 8 (Итоговый тест) (уровень 3) Partie A.
1. 1-mé tro, 2-station, 3-plan, 4-ligne, 5-direction, 6-correspondance, 7-descendez 2. Au guichet de la gare: 1-e, 2-g, 3-a, 4-d, 5-f, 6-h, 7-c, 8-b. Au té lé phone: 1-b, 2-a, 3-c-4-g, 5-h, 6-f, 7-e, 8-d.
Partie B. Vrai: 2, 3, 5. Faux: 1, 4, 6.
Модуль 5 Test d’entré e 9 (Входной тест) (уровень 2) Partie A. 1-c, 2-a, 3-b, 4-c, 5-a, 6-b, 7-a, 8-a, 9-c, 10-b, 11-b, 12-c
Partie B. III. Actif: 2, 5, 6 Passif: 1, 3, 4 IV. 1-pire, 2-plus; mieux, 3-moins, 4-meilleur V. 1-c, 2-g, 3-f, 4-h, 5-a, 6-b, 7-e
Test 10 (Итоговый тест) (уровень 3) A. 1-6, 2-7, 3-1, 4-2, 5-3, 6-4, 7-5, 8-11, 9-12, 10-8, 11-9, 12-10, 13-14, 14-13. B. 1-V, 2-F, 3-F, 4-V, 5-F, 6-V, 7-F, 8-F
Модуль 6
Test d’entré e 11 (Входной тест) (уровень 2)
Partie A. 1-a, 2-b, 3-b, 4-a, 5-b, 6-b, 7-b, 8-b, 9-b, 10-a, 11-a, 12-b, 13-b, 14-a Partie B. a.: 1-c, 2-b, 3-a, 4-f b. (proposition): 5-e Je voulais apprendre l’Italien.
Partie C. 1-b, 2-a, 3-c, 4-g, 5-h, 6-f, 7-d, 8-i, 9-e
Test 12 (Итоговый тест) (уровень 3)
A. 1.-6; 2-5; 3-3; 4-1; 5-4; 6-2; 7-10; 8-12; 9-7; 10-10; 11-11; 12-8 B. 1.-F; 2-V; 3-F; 4-V; 5-V; 6-F; 7-V; 8-F
Модуль 7 Test d’entré e 13 (Входной тест) (уровень 2)
Partie A.
Partie B. 1. plus; 2. pas encore; 3. aucun; 4. nulle part; 5.sans; 6. personne II. a) 1. Les ateliers des artisans ont é té remplacé s par les restaurants. 2. Notre voyage est organisé par l’agence Dutour. 3. Vous serez accompagné d’un bon guide. 4. Nous avons é té accueillis par une charmante hô tesse. b) 1. On nous recommande fortement cet hô tel. 2. Un cé lè bre architecte a construit le nouvel hô tel. 3. Ce genre de quartier attire les touristes. 4. Fé lix a reç u mal. III. 1-a; 2-b; 3-a; 4-b; 5-c; 6-b; 7-a; 8-a; 9-b; 10 – b; 11 – c; 12 – b; 13 – a; 14 –a.
Test 14 (Итоговый тест) (уровень 3) A. 1.-6; 2-3; 3.-4; 4.-5; 5.-2; 6.-1; 7.-10; 8.-11; 9.-8; 10.-12; 11.-9; 12.-7.
B. 1.-F 2.-F 3.-V 4.-F 5.- F 6.-V 7.-F 8.-V
Модуль 8
Test d’entré e 15 (Входной тест) (уровень 2)
Partie A. 1.-a; 2.-b; 3.-c; 4.-c; 5.-a; 6.-c; 7.-b; 8.-a; 9.-b; 10.-a; 11.-b; 12.-b; 13.-a; 14.-b
Partie B. 1.-b; 2.-c; 3.-a; 4.-c; 5.-c; 6.-d; 7.-a; 8.-a; 9.-d; 10.-d; 11.-a; 12.-c; 13.-c; 14.-d; 15.-b Test 16 (Итоговый тест) (уровень 3)
A. 1.-3, 2.-6, 3.-9, 4.-4, 5.-1, 6.-10, 7.-8, 8.-5, 9.-7; 10.-2. B. 1.-V, 2.-F, 3.-F, 4.-V, 5.-F, 6.-F; 7.-F, 8.-F
Модуль-контроль Задание 1.
Следующий текст-это «посмертное интервью» М. Бусико, рассматриваемого во Франции в качестве изобретателя универсальных магазинов. Аристид Бусико (1810-1877), передвижной торговец в течение многих лет, в 1852 году купил Ле Бон Марше, небольшую лавку тканей. 30 лет спустя, Ле Бон Марше стал самым крупным магазином в мире. Сегодня Ле Бон Марше дает работу около 1500 человек. Это один из самых роскошных магазинов Парижа. - Чем вы объясняете ваш успех? В чем ваше новшество? Для начала я предложил более выгодные цены, чем у конкурентов. Конечно, замысел был в том, чтобы осуществить значительный объем продажи. В то время, как сальдо баланса у всех коммерсантов составляло 40 %, я решил сократить свою прибыль до 13, 5 %. В отличии от мелких розничных торговцев, мы переправляли только крупные заказы. Сегодня это может показаться вам банальной идеей, но в то время это было совершенно неожиданно. - Говорят, что вы были знатоком в получении очень длинных сроков оплаты ваших поставщиков. В действительности, я всегда просил сроки у промышленников. Учитывая значимость моих заказов, они всегда соглашались. Хотя, обычно, на момент оплаты товара, он уже был продан! Таким образом, я не прибегал к кредиту банков и мог даже осуществить финансовые вложения своими денежными средствами. - Мы говорим только о деньгах. Я полагаю, что вы использовали другие орудия, чтобы преуспеть. Конечно. Продавать по низкой цене-этого не достаточно. Со своей стороны, я установил ряд новых приемов. Во-первых, я принял систему фиксированных, отмеченных цен. Таким образом, я упразднил торг-потеря времени для продавцов! Во-вторых, я очень настаивал на качестве товаров. Мы принимали товар, имеющий малейший дефект. Я даже пошел дальше, предложив возмещение любого возвращенного товара, не спрашивая причину.
Задание 2. - А свободный вход? И это тоже было новшеством. До II-й Империи невозможно было зайти в магазин, если ты не знал, что хочешь купить. Мы же сказали клиенткам: «Приходите посмотреть, что у нас есть, пользуйтесь зрелищем и покупайте, если у вас есть желание! » У клиенток вошло в привычку прогуливаться по отделам. Они ходили, приходили, они щупали ткани, они сравнивали качество и цены и рано или поздно они покупали. Посещение магазинов-или, как вы сейчас говорите, шоппинг-имеет действие наркотика. В конце концов без этого становится невозможно обходиться. - Расскажите нам о ваших продавцах. Им хорошо платили? Они получали комиссионные. Это превосходный способ вознаграждения, который содействует конкурентоспособности и который гарантирует высокие доходы с хорошими элементами. В Бон Марше продавцы и продавщицы зарабатывали гораздо больше, чем в конкурирующих магазинах. К тому же, у нас они работали всего 11 часов в день. В обмен на все эти преимущества, мы требовали большой дисциплины и примерной личной жизни.
ЛИТЕРАТУРА:
1. Бердусова Н.А. Методические указания к изучению устных тем «Франция», «Париж» на французском языке для студентов 1 курса всех специальностей. ПГУ, 2002. 2. Хлапова Л.В., Тихоновская Л.Г. Методические указания к изучению устных тем «Новополоцк», «Полоцк», «Профессия» на французском языке для студентов 1 курса всех специальностей. ПГУ, 2000. 3. Ross Steele, Jane Zemiro – Ré visions 3. Tests 350 exercices, niveau avancé. Hachette livre, Paris, 1993. 4. Тарасова А.Н. Грамматика французского языка. Справочник, упражнения. М., «ЛИСТ», 2000. 5. Jean-Luc Penformis. Franç ais com, cahier d’exercices. Tours, 2004. 6. Головко С.Г., Васильева Т.И. Французский язык для технических вузов. Мн., «ВШ», 1992. 7. Гончар Л.А., Тетенкина Т.Ю., Михальчук Т.К. Французский язык для поступающих в вузы. Мн., «ВШ», 2000. 8. Мурадова Л. 60 устных тем по французскому языку. М., «Айрис Пресс Рольф», 1999. 9. Городецкий Р.А. Самохотская И.С. Учебник для студентов-историков. М., «ВШ», 1991. 10. La rousse. Petit dictionnaire de franç ais. Paris, 2004. 11. Jean-Luc Penformis. Franç ais com. Mé thode de franç ais professionnel et des affaires. Paris, 2002. 12. Té té nkina T. Dé couvrir la France. Мн., «ВШ», 1997. 13. Прокофьева Г. Тесты по грамматике французского языка. М., «Айрис Пресс Рольф», 1999. 14. Леус В.И., Леус И.Л. Тесты по французскому языку. М., «Лист», 1998. 15. Конышева А.В. Современные методы обучения английскому языку. Конышева А.В. Мн., «Тетра Систем», 2003. 16. Иностранный язык. Рабочая программа для высших учебных заведений неязыковых специальностей. Мн., РИВШ, БГУ, 2001. 17. Яско Ф.Ф. Методические рекомендации о порядке разработки, утверждения и распределения учебно-методических комплексов. ПГУ, 2004. 18. Макаров А.В., Трофимова З.П., Вязовкин В.С., Гафарова Ю.Ю. Комплексная модальная технология разработки. Мн., 2003. 19. Зимняя А.И. Психология обучения иностранным языкам в школе. М., Просвещение, 1991. 20.Данилова М.М. Организация самостоятельной работы студентов. М., 1990 21. Гречанова Е.П.Милая Франция. Книга для чтения на французском языке. Серия «Грамматика».-М.: «Лист», 1999. |
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