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Trouvez le sens des expressions suivantes et utilisez-les dans une phrase.



 

*Un coup de gueule *Un coup d’É tat

*Un coup d’œ il *Un coup de peigne

*Un coup de crayon *Un coup mé diatique

*Un coup d’é pé e dans l’eau *Un coup de vent

*Un coup d’é ponge *Le coup d’envoi

*Un coup de main *Le coup de la panne

*Un coup monté *Le coup du lapin

*Faire les 400 coups *Un coup de maî tre

*Un sale coup *Un coup d’essai

*Un coup de fil *Un coup de thé â tre

*Un coup de sang

*Un coup de soleil

*Un coup de froid

*Un bon coup de fourchette.

32. Recevoir un coup de bambou, c’est é videmment ê tre frappé par un bâ ton en bambou (sens propre). Mais recevoir une note ou une facture à payer qui vous paraî t excessive et donc qui vous choque, c’est aussi recevoir le coup de bambou. (sens imagé ). Donnez pour chaque expression le deuxiè me sens (imagé ).

1 – Recevoir un coup de fusil: ê tre atteint par les balles tiré es par un fusil.

Mais au restaurant …

2 – Donner un coup de balai c’est nettoyer le sol rapidement.

Mais dans un magasin, pendant la pé riode des soldes …

3 – Un coup de feu c’est le bruit d’une dé tonation d’arme.

Mais à midi dans un restaurant …

4 – Donner un coup de frein c’est ralentir en voiture.

Mais en é conomie …

5 – Un coup de barre en bateau sert à modifier sa direction.

Mais, en fin de journé e, c’est bien diffé rent. Pourquoi?

6 – Donner un coup de fouet, c’est frapper quelqu’un comme un animal et ce n’est guè re agré able. Mais si vous manquez d’é nergie …

7 – Donner un coup de torchon, c’est essuyer sommairement.

Mais dans une enterprise …

 

33. Remplacez faire par un verbe plus adapté au contexte:

1. J'ai dû faire deux kilomè tres pour trouver un restaurant ouvert.

2. Si tu persistes à vouloir changer de travail, tu fais une grosse erreur.

3. La pyramide en verre que l'architecte Pei a faite devant le Louvre sé duit la plupart des visiteurs.

4. Tu ne peux pas faire cette lettre tout seul.

5. Il part aux É tats-Unis pour faire les grands parts naturels.

6. Cette usine fait des meubles de cuisine.

7. Mozart a fait cette symphonie à son retour de Paris.

8. Ce paysan fait principalement du blé et du maï s.

9. Dé solé, Madame, nous ne faisons pas cet article.

10. Dix hectomè tres font mille mè tres ou un kilomè tre.

11. Il fait de l'histoire et de la gé ographie.

12. Elle a fait tout le travail qu'on lui avait confié en un temps record.

 

34. Les verbes proposé s signifient tous rendre neuf mais chacun de ces verbes a des complé ments privilé gié s: rajeunir, renouveler, ré parer, ré habiliter, ré nover, restaurer. Choisissez parmi les mots proposé s le complé ment qui convient:

un magasin, une cathé drale, un immeuble du XVIIIe siè cle, une HLM des anné es soixante, une salle de bains, une garde-robe, un vê tement dé modé, une voiture, un collè ge qui n'est plus aux normes, une lampe cassé e.

35. Associez les synonymes de construire avec leur complé ment privilé gié que vous choisirez parmi les termes suivants: une statue, un monument, une maison, un immeuble, une cathé drale, un autobus, une rifle, une colonne.

Bâ tir, é lever, fonder, construire, é riger, é difier, fabriquer

 

36. Formez le champ sé mantique qui a pour noyau le mot odeur; expliquez la signification de chacun des mots trouvé s; composez des phrases avec ses vocables.

Substantifs Verbes

37. Indiquez pour chaque phrase, quel est le sens convenable du mot temps.

1. Comme le temps passe vite.

2. J’ai tellement de travail que je ne trouve mê me plus le temps d’aller au ciné ma.

3. C’é tait à la mode de mon temps.

4. Il y a un temps pour tout: un temps pour travailler et un temps pour se dé tendre.

5. Vous avez mis trop de temps pour ré diger ce texte, il faudra vous entraî ner à é crire plus vite.

6. Hier les grands navigateurs, aujourd’hui les astronautes: c’est la preuve que le temps des grands voyages n’est pas fini.

7. Le temps de l’adolescence n’est pas facile à vivre.

Le temps d’apprendre à vivre, / Il est dé jà trop tard....

 

38. Retenez quelques expressions avec le verbe garder: garder une entré e, garder un prisonnier, garder un enfant, garder un malade, garder un livre, garder son chapeau, garder la chambre, garder le lit, garder ses habitudes, garder un secret, garder le silence. Observez l’emploi de ce verbe dans les phrases suivantes, traduisez-les.

1. Il riait lui-mê me, mais son visage gardait l’air sé vè re. 2. Le colonel ne laissa que deux soldats pour garder le pont. 3. Je vous prê te, vous pouvez le garder tant que vous en aurez besoin. 4. Craignant quelque complication, le mé decin lui ordonna de garder la chambre pendant quelques jours encore. 5. Vous pouvez sortir, je vous garderai votre place. 6. C’é tait le chien qui gardait le troupeau. 7. Simon garda longtemps ses habitudes de guerre. 8. Il s’instala, et, gardant toujours son manteau et son chapeau, dî na de conserves. 9. Il garde le silence sur le but de sa visite.

 

39. Dites quelles sont les proprié té s de l’eau dans les locutions suivantes, spé cifiez les sè mes qui les distinguent:

1. Mettre de l’eau dans son vin. 2.Ê tre comme l’eau et le feu. 3. Suer sang et eau. 4. Jeû ner au pain et à l’eau. 5. Clair comme l’eau de roche. 6. D’ici que cela arrive, il passera de l’eau sous le pont. 7. Ce projet est tombé à l’eau / est revenu sur l’eau. 8. Il faut se jeter à l’eau. 9. C’est une goutte d’eau dans la mer. 10. Se ressembler comme deux gouttes d’eau. 11. Porter l’eau à la riviè re. 12. Vous amenez de l’eau à mon moulin. 13. Ê tre heureux comme un poisson dans l’eau. 14. Pê cher/nager en eau trouble. 15. Il n’est pire eau que l’eau qui dort. 16. Une tempê te dans un verre d’eau. 17. Rester le bec dans l’eau. 18. Donner un coup d’é pé e dans l’eau. 19. Un marin d’eau douce. 20. Ne pas gagner de l’eau à boire. 21. Vivre d’amour et d’eau fraî che.

 

40. Soit A1 aime A2. Dites quelles caté gories de A1 (plante, animal, ê tre humain, Dieu) sont possibles si A2 est: l’eau, le soleil, la chaleur, avoir chaud, les betteraves, le poisson, la viande, bien manger, voyager, jouer, sortir, (faire de ) la musique, les mathé matiques, la mer, la montagne, la tour Eiffel, son maî tre, son chien, ses petits, ses enfants, ses parents, ses amis, son prochain, Picasso, Phè dre, Juliette, Romé o.

Dans quels cas (moyennant un retournement de phrases) plaire ou dé sirer peut-il ê tre substitué à aimer. Dans quels cas on peut paraphraser aimer par é prouver de l’amour, de l’affection, de l’amitié, une passion.

 

41. Relevez le plus grand nombre possible d’emplois diffé rents et de locutions où figurent les mots suivants et cherchez à ré unir tous les traits de l’archilexè me:

Parties de corps – tê te, coeur, pied, bras, main;

Vé gé taux – arbre, fleur, roseau, lis, violette;

Animaux – lion, loup, chien, lapin, renard;

42. Constituez le champ sé mantique lexical de l’archilexè me é tat affectif positif. Pré parez une sé ries de fiches relevé es par ordre alphabé tique, classez – les par parties de discours, inventez des contextes à l’aide des questions pour objet direct et indirect, pour sujet, pour adverbe, etc

 

II. 2. L’é volution sé mantique des mots

L’é volution sé mantique des mots est une source interne de l’enrichissement du vocabulaire trè s fé conde. Tous les mots ont un premier sens ou sens é tymologique, mais ils é voluent et ont tendance, au fil des siè cles, à s’é loigner de leurs significations primitives. (7) É tudier le sens d’un mot, c’est é tudier ses modifications de sens en diachronie, ce qui permet de ré pertoirer les diffé rentes significations par lesquelles un mot a passé depuis sa cré ation.

En consultant le dictionnaire pour connaî tre les diffé rentes acceptions d’un mot, on dé couvre certaines proprié té s de ses significations; on distingue le sens propre et le sens figuré.(28) Le sens propre est le sens premier du mot, le plus proche de son origine. Souvent le sens propre correspond au sens é tymologique qui explique l’origine du mot.(18) Le sens figuré peut ajouter au sens propre une dimension imagé e qui aide à la repré sentation mentale.(28) Mais parfois le sens é tymologique est oublié et alors on distingue: le sens é tymologique, le sens propre et le sens figuré.( 18) Soit le mot tortue:

– au sens é tymologique, il signifie du Tartare, infernal, du latin tartarus.

– au sens propre, il dé signe un ré ptile à quatre pattes courtes.

– au sens figuré, il dé signe une personne trè s lente.

Un mot a gé né ralement plusieurs sens figuré s. Il n’est pas toujours facile de dire quel est le sens propre ou le sens premier d’un mot polysé mique. Le passage du sens propre aux sens figuré s se soumet à une logique fondé sur l’analogie (mé taphore) ou sur la proximité (mé tonymie) entre le sens propre et le sens figuré cré é.(18)

Le mot mé taphore vient du grec meta qui signifie «changement» et pherein «porter», c’est-à -dire «dé placement de sens». La mé taphore assimile un terme à un autre, à la suite d’une comparaison implicite.(3) À la diffé rence de la comparaison, dans la mé taphore le mot comparatif est absent: il a la ruse du renard. Selon la pré sence ou l’absence du comparé on distingue (18):

la mé taphore annoncé e qui met en pré sence un comparé et un comparant: elle a une taille(comparé ) de guê pe(comparant).

la mé taphore directe qui se reduit à un comparant, sans faire apparaî tre le comparé ou le terme comparatif: un monument de bê tise, le flé au de la socié té.

la mé taphore filé e qui consiste à dé velopper une succession, un enchaî nement de mé taphores autour d’un thè me (1):

Un bel arbre

Ses branches sont des ruisseaux

Sous les feuilles

Ils boivent aux sources du soleil

Leurs poissons chantent comme des perles.

La mé tonymie consiste à dé signer un ê tre ou une chose par un nom qui est lié au premier par un rapport logique (18), par un lien de contiguï té (3): une belle main (une belle é criture), boire un verre (verre d’eau), etc. La mé taphore et la mé tonymie sont l’objet d’é tude de la lexicologie et de la stylistique à la fois, mais la lexicologie s’inté resse aux figures lexicalisé es qui sont inscrites dans le vocabulaire à tous les locuteurs franç ais et ne sont plus ressentis comme des images (3): le blanc manteau de la neige.

Les causes de l’é volution sé mantique des mots sont multiples et varié es. Elles sont conditionné es par l’é volution des notions et par les besoins de communication des gens entre eux.(14) A. Deroy discerne les causes extra- et intra-linguistiques. (25) Les modifications dues au dé veloppement de la vie sociale, é conomique et culturelle, au progrè s de la science humaine sont rapporté es aux causes extra – linguistiques, tandis que les causes intra-linguistiques ont un caractè re purement langagier. Comme exemple de modifications de sens dues au progrè s de la conscience humaine on peut citer une quantité de mots concrets ayant reç u un sens abstrait: aborder un navire – aborder un sujet.

La plupart des mots gardent dans l’usage moderne leur sens é tymologique: feuille, ouverture, viaduc. La sé mantique fonctionnelle pré sente un nombre d’exemples restreint qui a modifié son sens au fil des siè cles. Les procé dé s de modification sé mantique sont multiples et importants à ê tre é tudié s (7):

1. Le changement sé mantique est le procé dé qui amè ne à une modification totale ou partielle du contenu sé mantique d’un mot. Le sens nouvellement reç u é limine la signification originaire. Ainsi le verbe é tonner signifiait autrefois é branler comme par un coup de tonnerre. Plus tard ce verbe prit le sens de surprendre, frapper l’imagination. Le nom ramage avait le sens qui a beaucoup de branches. Cette signification est perdue aujourd’hui, par é volution, et a le sens chant des oiseaux.

2. Le dé veloppement sé mantique est le procé dé de ré ception par un mot d’une nouvelle acception qui se joigne à la pré cé dente. Errer signifiait autrefois aller ç a et là à l’aventure. Au sens premier s’ajouta une signification supplé mentaire se tromper. Tous les deux sens lui appartiennent dans le franç ais contemporain. Le dé veloppement sé mantique peut aboutir à l’apparition des homonymes dits sé mantiques: grè ve (1) – cessation du travail par les ouvriers, grè ve (2) – plage sablonneuse.

3. La restriction sé mantique est le procé dé à l’issue duquel un mot ayant à l’origine un sens gé né ral arrive à exprimer une notion plus particuliè re. On peut citer l’exemple de Ch. Touratier, le lexè me femme, dont le sens premier est personne du sexe fé minin et le sens restreint personne du sexe fé minin qui est ou a é té marié e.(touratier) Cette restriction consiste en l’apparition d’un sè me spé cifique. Dans les expressions la femme de qqn, prendre femme, le lexè me femme pré sente sa signification restreinte d’é pouse.

4. L’extension sé mantique est une autre relation entre les diffé rents sens d’un mê me lexè me. Le mot arrive à pré senter un sens plus large que le sens premier ou é tymologique. Le lexè me arriver é tait à l’origine un terme maritime signifiant toucher à la rive. Par la suite l’emploi de ce lexè me fut é tendu à tout mouvement atteignant son but. Ainsi le mot s’applique-t-il à plus d’objets qu’auparavant. De mê me, panier – corbeille pour le pain; dame – femme de haute naissance, etc.

5. L’affaiblissement de sens est le procé dé à l’issue duquel un mot ayant à l’origine une valeur trè s expressive, la perd, au fil des siè cles, et finit par recevoir un sens neutre. Le verbe gê ner avait au XVIIe siè cle le sens de torturer. L’adjectif blanc signifiait é tymologiquement brillant. On retrouve son sens primitif dans l’expression les armes blanches c’est-à -dire brillantes.

6. Le renforcement sé mantique est le procé dé à la suite duquel un mot ayant un sens neutre à l’origine adopte un sens plus fort, plus expressif. Le lexè me maî tresse avait le sens neutre de femme que l’on veut é pouser; fiancé e. De nos jours ce mot a fini par recevoir le sens de concubine, femme n’é tant pas é pouse.

7. L’amé lioration de sens est un procé dé quand un mot ayant à l’origine un sens dé favorable reç oit un sens favorable et passe d’une couche de la langue à une autre. Le verbe ré ussir signifiait à l’origine aboutir, le ré sultat pouvant ê tre heureux ou malheureux. Aujourd’hui ce verbe exclut complé tement l’idé e d’é chec.

8. La pé joration de sens s’effectue par le procé dé à la suite duquel un mot ayant à l’origine un sens neutre reç oit un sens dé pré ciatif, dé favorable. Ce phé nomè ne est d’origine sociale. Les substantifs vilain, rustre de l’origine un paysan, un villageois ont subi une dé gradation et ont reç u un sens dé favorable.

 

 

QUESTIONNAIRE

 

1. Quelles sont les causes de l’é volution de sens des mots? 2. Quelle est la diffé rence entre le changement sé mantique et le dé veloppement de sens? 3. Quelle est la diffé rence entre la restriction et l’affaiblissement sé mantique? entre l’extention et le renforcement de sens? entre l’amé lioration et la pé joration? 4. Par quels procé dé s se fait le passage du sens propre aux sens figuré s?

 

EXERCICES

 

1. Donnez le sens des mots souligné s dans les citations suivantes, puis expliquez le rapport entre le sens propre et le sens figuré du mot:

1. « Quoi? Vous avez le front de trouver cela beau? » (Molè re) 2. Les bouches du mé tro refoulaient jusque sur le trottoir le flot des voyageurs. (Roger Martin du Gard) 3. Un homme [le dentiste] contre lequel – c’est le cas de dire – j’avais une dent. (Bergson) 4. On n’é crit pas avec son cœ ur, mais avec sa tê te. (Flaubert) 5. É tait-ce possible de perdre, en un quart d’heure, le fruit d’un an de travail? (Zola)

 

2. Donnez tous les sens possibles de ces phrases en les complé tant; le contexte devra expliciter chaque sens des mots souligné s:

1. Le nouveau bureau me plaî t. 2. C’est un drô le de bleu. 3. Ce complé ment convient parfaitement. 4. C’est un beau papier. 5. Il faudrait soutenir sa tê te.

 

3. Pré cisez le sens des adjectifs:

 

Un homme brave – un brave homme

Une note fausse – une fausse note

Des vers mé chants – de mé chants vers

Un homme pauvre – un pauvre homme

Un objet sacré – un sacré menteur

Un homme grand – un grand homme

 

4. Dites par quel procé dé a é volué le sens des noms des parties du corps dans les groupements de mots qui suivent. Trouvez-en des é quivalents russes (moldaves, anglais): les bras d’un fauteuil, le bras d’un fleuve; le pied d’une table, le pied d’une montagne; les dents d’un peigne, les dents d’une scie; le dos d’une main, le dos d’un fauteuil; la bouche d’un fleuve, la bouche d’un canon.

 

5. Relevez les noms polysé miques et dites s’ils sont employé s dans leur sens primitif ou dans un sens dé rivé:

Une enfance sé vè re, à laquelle manqua la douceur familiale... Dè s le commencement, la vie se ré vé la à lui comme un combat triste et brutal. Son pè re voulut exploiter ses dispositions musicales et l’exhiber comme un petit prodige. A quatre ans, il le clouait pendant des heures devant son clavecin, ou l’enfermait avec un violon, et le tuait de travail. Il fallut user de violence pour que Beethoven apprit la musique. Sa jeunesse fut attristé e par les pré occupations maté rielles. A onze ans, il faisait partie de l’orchestre du thé â tre; à treize, il é tait organiste. A dix-sept ans, il é tait chef de famille, chargé de l’é ducation de ses deux frè res; il avait la honte de devoir solliciter la mise à la retraite de son pè re ivrogne, incapable de diriger la maison... Ces tristesses laissè rent en lui une empreinte profonde (D’aprè s R.Rolland).

 

6. Spé cifiez l’origine et le sens des noms communs tiré s des noms propres:

1) Argus, cerbè re, mé gè re, mé duse, sirè ne, dracon, hercule, mé cè ne, gé ant, titan; 2) gavroche, gobseck, harpagon, lovelace, renard, tartuffe, espiè gle, cré sus, cé ladon; 3) berline, landau, tilbury, victoria; 4) astracan, boston, cachemire, gabardine, mousseline, nankin, persienne; 5) bordeau, champagne, cognac; 6) mansarde, guillotine, silhouette; 7) franc, louis, napolé on.

 

 

7. Remplacez les pointillé s par une antonomase:

1) Un homme d’une constitution athlé tique est un...

2) Les personnages influents sont entouré s d’hypocrites, de...

3) C’est un homme d’une fortune incalculable, c’est un vé ritable...

4) Un homme qui pré sente une ressemblance frappante avec un autre est son...

5) Cet homme est trè s avare c’est un ré el...

6) Ce guerrier grec criait aussi fort que 50 hommes; d’où l’expression: une voix de...

7) Cette publication qui fournit des renseignements spé cialisé s est un bon...

8) L’hô te qui invite à dî ner est aussi appelé ... (personnage de Moliè re).

9) Celui qui se vante des exploits dont il est capable mais dont la bravoure est surtout imaginaire est un...

10) Le nom de cette dé esse romaine sert à dé signer l’ensemble des espè ces vé gé tales qui croissent dans une mê me ré gion; il s’agit de la...

 

8. Relevez les noms propres devenus noms communs, pré cisez leur origine et expliquez comment s’est effectué ce passage.

1) Et maintenant Simon é tait le benjamin de cette coterie d’hommes puissants qui ne pouvait que l’aider à gravir l’é chelle des honneurs parce qu’il é tait initié à leurs secrets, à leurs intrigues et à leurs vies. (Druon) 2) L’agent a dé claré qu’il le pouvait, et il a ajouté: « Mais la prochaine fois tu sauras qu’un agent n’est pas un guignol ». (Camus) 3) Sé leste jetait de temps en temps des regards de mon cô té et roulait un panama entre ses mains. (Camus) 4) Il portait un pantalon rayé, une veste d’inté rieur en lainage bleu avec des brandebourgs noirs et de revers de satin noir. (Saint-Pierre) 5) Les silhouettes des meubles se dé coupaient vaguement en noir sur le gris. (Saint-Pierre) 6) Le salon du commandant ré lé vait sans é quivoque une orgie discrè te, mais de qualité. Il y flattait une odeur de havane, de bons apé ritifs et de rhum flambé. (Saint-Pierre) 7) On t’y voyait, lanç ant des boutades de « gavroche », comme si le courage consistait à s’abaisser à des railleries de collé gien, au cœ ur des pires dangers et à l’heure de la mort. (Saint-Exupé ry) 8) Elle é tait vê tue d’une robe de cachemire bleu pâ le qui dessinait bien sa taille souple et sa poitrine grasse. (Maupassant) 9) Il n’y a plus ici ni sable, ni renards. (Saint-Exupé ry) 10) Depuis trois jours, une demi-orange et une moitié de madeleine. (Saint-Exupé ry) 11) « Pourquoi pas le baiser de Juda? » demanda Hooten, mielleux. (Lanoux) 12) Je demande ce que font les petites sirè nes par un temps pareil. (Lanoux) 13) La vie é tait vraiment trop farce d’avoir fait é chouer dans cette gé hé nne le premier hé ros de leur drô le guerre, dans quel é tat! (Lanoux)

9. À quelles villes correspondent les dé nominations suivantes: la capitale des Gaules; la cité des Doges; La cité des Papes; la Ville rose; la cité phocé enne; la cité interdite; la Ville lumiè re; la Ville é ternelle; la Venise du nord; la Ville sainte. Amsterdam, Avignon, Jé rusalem, Lyon, Marseille, Paris, Pé kin, Rome, Toulouse, Venise

10. Mê me travail pour les pays: la Perfide Albion; l’Empire du Soleil Levant; le Nouveau Monde; l’î le de Beauté; la grande Bleue; le Cé leste Empire; la terre des dieux; la terre des Pharaons; le toit du monde. Amé rique, Angleterre, La Chine, La Corse, L’É gypte, La Grè ce, Le Tibet, Le Japon, la mer Mé diterrané e

11. Ré pondez aux questions suivantes à l'aide du dictionnaire.

1. Louis de Bé chamel é tait un financier et un gourmet trè s connu du XVIIe siè cle. Mais qu'est-ce qu'une bé chamel!

2. Louis Braille é tait un professeur et organiste franç ais. Mais qu'est-ce que le braille!

3.John Browning é tait un inventeur amé ricain. Mais qu'est-ce qu'un browning.

4. Lord James Cardigan é tait un gé né ral britannique. Mais qu'est-ce qu'un cardigan.

5. David Colt é tait un ingé nieur amé ricain. Mais qu'est-ce qu'un colt.

6. Rudolf Diesel é tait un ingé nieur allemand. Mais qu'est-ce qu'un diesel?

7. Judas é tait un disciple de Jé sus qui l'a livré aux Romains. Mais qu'est-ce qu'un judas?

8. John Loudon McAdam é tait un ingé nieur é cossais. Mais qu'est-ce que le macadam ?

9. Guillaume Massiquot est l'inventeur d'une machine. Qu'est-ce qu'un massicot?

10. Samuel Morse est un Amé ricain qui a inventé un systè me. Qu'est-ce que le morse?

11. Eugè ne René Poubelle é tait pré fet de la Seine. Qu'est-ce qu'une poubelle?

12. Fitzroy James, Comte de Raglan, é tait un gé né ral anglais. Qu'est-ce qu' un raglan?

13. John Montagu, Comte de Sandwich, é tait un amiral anglais. Qu'est-ce qu' un sandwich?

14. Etienne de Silhouette é tait le contrô leur gé né ral des finances extrê mement impopulaire. Qu'est-ce qu' une silhouette?

15. Alessandro, Comte Volta, é tait un physicien italien. Qu'est-ce qu' un volt!

 

12. Expliquez comment a é volué le sens des mots qui suivent au pluriel. Pré cisez les distinctions du sens de ces mots.

La bonté et avoir des bonté s pour qqn; la liberté et prendre des liberté s avec qqn; l’é tourderie et faire des é tourderies; la maniè re et faire des maniè res; la vé rité et dire des vé rité s à qqn; la charité et faire des charité s; la malhonnê teté et commettre des malhonnê teté s; la sculpture et admirer des sculptures.

 

13. La structure de l’arbre fournit de nombreuses mé taphores. Cherchez lesquelles à l’aide d’un dictionnaire: l’arbre, le tronc, la souche, la branche / l’embranchement / le branchement / branché, les racines / enraciné / dé raciné. Par quelles mé taphores sont repré senté es les â ges de la vie.

1. Que repré sente la fleur de l’â ge?

2. Une fleur s’é panuit, une civilisation le peut-elle? Une personne? Qu’est-ce que cela signifie?

3. Si un fruit est mû r, à quel moment un homme l’est-il? Y-a-t-il des é vè nements qui vous ont fait mû rir?

4. Qu’est-ce qui peut se flé trir, se faner, s’é tioler, vé gé ter? un visage, la peau, la beauté d’une femme, un enfant, une personne sans resources?

5. Au commencement de toute plante, il y a la graine, que veut-on dire quand on appelle des enfants mauvaise graine?

6. Une bonne ou une mauvaise idé e peut-elle germer dans votre esprit?

7. Au bout de l’é panouissement de la fleur, il y a le fruit. Peut-on recueillir le fruit de son travail? de ses ré flexions? de ses erreurs? dans quelles situations?

8. Faire fructifier ses arbres, c’est bien; est-il possible de faire fructifier son argent? une opé ration bancaire peut-elle ê tre fructueuse?

9. Quand vous avez des pé pins, vous trouvez que la vie est une jungle! Expliquez…

10. Et pour finir, n’oubliez pas que vous ré colterez ce que vous aurez semé!

 

14. Le passage de la comparaison à la mé taphore s’accompagne souvent d’un changement de signification attribué e à l’animal: Ex. On est tê tu comme un â ne ( = comparaison ), mais si on est un â ne (= mé taphore), c’est qu’on est stupide. Dans la vie politique et é conomique, à quel type de personnes font ré fé rence les mé taphores lexicalisé es suivantes: un jeune loup, une taupe, un vieux renard, les é lé phants d’un parti politique, un charognard, les dinosaures de la politique, les requins de la finance.

 

15. Le procé dé qui consiste à dé signer un homme par un nom d’animal est presque toujours dé valorisant. L’emploi du mot bê te qui signifie stupide le montre clairement. Dans quelle situation peut on dire de quelqu’un qu’il est: un chien, un corbeau, une chienne, un cafard, un chameau, une couleuvre, un perroquet, une fourmi, un ours, une cigale, une vipè re, une linotte, un mouton, un veau, une grue.

 

16. Une autre faç on d’animaliser l’homme est de lui appliquer les mots dé signant les parties du corps de l’animal: on dira trè s familiè rement: ferme ta gueule à quelqu’un pour lui enjoindre de se taire, au lieu de ferme ta bouche; de mê me on dira bas les pattes à quelqu’un qui tente de poser les mains sur vous. Que signifient, appliqué es à une personne, les phrases suivantes:

1 – Ce n’est pas la peine de prendre des pré cautions, il a le cuir solide!

2 – Regarde un peu la criniè re de cette fille! ( fam.)

3 – Quand elle a appris la nouvelle, elle est arrivé e, toutes griffes dehors.

4 – Il connaî t toutes les bonnes adresses de la ré gion, c’est un bec fin.

5 – Pour cette soiré e, il arborait une chemise à jabot.

6 – Il s’est cassé les abattis en descendant l’escalier.( fam. )

7 – Il a souvent courbé l’é chine devant le pré sident.

8 – Dans cette malheureuse histoire, il a laissé quelques plumes.

 

17. Les actions et les comportements des animaux peuvent ê tre é galement appliqué s à l’homme.

On dit de quelqu’un qui manifeste sa colè re avec force qu’il gueule; d’un enfant qui pleure bruyamment, qu’il braille comme le fait le paon. Si quelqu’un reste volontiers à la maison, il reste dans son trou (pé joratif) ou il reste au nid (qui est toujours confortable).

Que signifient les phrases suivantes quand elles concernent des personnes:

1 – Ces deux vieilles femmes passent leurs temps à cancaner.

2 – On entendait piailler les enfants dans la cour de ré cré ation.

3 – Tu n’as pas faim! Evidemment, tu grignotes toute la journé e.

4 – Il est de mauvaise humeur: il rumine ses problè mes depuis une semaine.

5 – Les é lè ves du dernier rang ont jacassé pendant tout le cours de mathé matiques.

6 – Elle trotte bien pour ses quatre-vingt-dix ans!

7 – Il n’accepte aucune invitation, il pré fè re rester dans sa taniè re.

8 – Cette chambre est une vraie porcherie!

9 – Ce bureau où travaillent beaucoup d’employé s est une ruche bourdonnante.

10 – Les juges ont dé cidé de donner un coup de pied dans la fourmiliè re en arrê tant des personnalité s importantes du monde politique.

 

18. Expliquez l’é volution sé mantique des mots en italique (changement ou dé veloppement de sens, restriction ou extension de sens, affaiblissement, pé joration ou amé lioration du sens, mé taphore ou mé tonymie):

I. 1. Le ministre consulta le pré sident tribunal (Maupassant). 2. Marguerite s’é tait remise à tailler son crayon, dont la mine cassait toujours (Zola). 3. Quand le mé decin de la mairie aura constaté le dé cè s que nous irons dé clarer, on le coudra dans un linceul, et on l’enterrera (Balzac). 4. Elle rangeait son linge dans les armoires et lui apprenait à surveiller le boucher quand il apportait la viande (Flaubert). 5. Il faut trop de temps pour é crire! Et puis, je ne suis pas Balzac, moi... Le conte fragile que j’é difie s’é miette quand le fournisseur sonne, quand le bottier pré sente sa facture, quand l’avoué té lé phone, et l’avocat, quand agent thé â tral me mande à son bureau pour « un cachet en ville... » (Colette). 6. Les pié tons se faisaient rares comme les autos (Triolet). 7. Le train partait. Ils sautè rent dans leur voiture (Maupassant). 8. Ce soir, je n’aurai pas sommeil, et le charme du livre ne me dé tournera pas de moi (Colette). 9. J’accuse Pé tain et sa bande d’avoir dé cidé et ré alisé la capitulation, à l’insu du peuple et de l’armé e (Bloch). 10. C’é tait lui qui faisait à la ville les commissions du pays. Il allait dans les boutiques, rapportait des rouleaux de cuir au cordonnier, de la feraille au maré chal (Flaubert). 11. Mais l’apothicaire certifia qu’il le gué rirait lui-mê me, avec une pommade antiphlogistique de sa composition (Flaubert). 12. La chè vre blanche, à moitié soû le, se vautrait là -dedans les jambes en l’air et roulait le long des talus, pê le-mê le avec les feuilles tombé es et les châ taignes... (Daudet). 13. Et les chemises sur les poitrines bombaient comme des cuirasses! (Flaubert). 14. De cette tragé die, par exemple, il blâ mait les idé es, mais il admirait le style (Flaubert). 15. Et l’on chiffrait dé jà les gains de la saison (Zola). 16. Ma mè re souffrait beaucoup de la gê ne où nous vivons (Maupassant). 17. Il eut un geste de colè re et d’ennui (Flaubert).

II. 1. C’é tait presque aussi charmant que le cabri d’Esmeralda, – tu te rappelles, Gringoire? – et puis, docile, caressante, se laissant traire sans bouger, sans mettre son pied dans l’é cuelle. Un amour de petite chè vre (Daudet). 2. C’é tait toute une vision de l’ancien Paris mouillé, dont elle grelottait, avec un é tonnement navré de trouver la grande ville si glaciale et si laide (Zola). 3. Michel l’embrassait sur la bouche (Triolet). 4. On disait dans le livre: « Les serpents boas avalent leur proie tout entiè re, sans mâ cher » (Saint-Exupé ry). 5. Dans ces vastes salles gothiques, les costumes, les gestes, les voix charmaient les sens, é tonnaient l’esprit, ravissaient le cœ ur (France).

 

19. Quelle particularité relevez-vous dans l’é volution sé mantique des mots de la mê me famille: meurtre, meurtrier et meurtrier, meurtrissure; rustique et rustre, rusticité ?

 

20. Expliquez les causes de l’é volution du sens des verbes suivants:

comprendre, entendre, goû ter, penser, rê ver, savoir, sentir.

21. Expliquez les causes de l’é volution de sens des mots italiqué s. Pré cisez le sens de ces mots dans les phrases qui suivent:

1) Il é tait fier de sa guerre, fier de la Ré sistence. (Lanoux) 2) Il é tait un grand patriote. (Vercors) 3) Ils partiront pour le premier maquis. (Sanitas) 4) Daconsta se sentit obligé de faire la grè ve par solidarité. (Vercors) 5) Il ne chô me pas, il est à couvert de la misè re. (Stil) 6) C’est surtout des usines que je parle, comment ç a se pré pare. (Stil) 7) Qu’est-ce qu’un collaborateur? La plupart des collaborateurs, c’est un fait, se sont recruté s parmi les bourgeois. (Sartre) 8) Elle [excursion] termina par un sé jour à Saï da, au pied des hauts plateaux, et par une petite intrigue entre le sous-officier Georges Duroy et une ouvriè re espagnole employé e à la manufacture d’alfa de Aï n-el-Hadjar. (Maupassant)

 

22. Spé cifiez les cas d’affaiblissement de sens des mots mis en italique. Indiquez leurs significations dans les phrases qui suivent et leur sens é tymologique.

1) La lampe à l’huile qui brû lait à doux dans sa suspension é clairait l’officier de police. (Lanoux) 2) C’est ce qui m’a conduit, peu à peu, à laisser mon sourire au vestiaire et à prendre pour le petit dé jeuner ma tê te de tous les jours, qui dé cidé ment, doit ê tre assez sinistre. (Daninos) 3) Pour le cocher de M. Larroque, Thé rè se d’instinct retrouvait ce sourire qui faisait dire aux gens: « On ne se demande pas si elle est jolie ou laide, on subit son charme... ». (Mauriac) 4) Quand il rapporta le billet, elle lui dit de garder la monnaie. (Mauriac) 5) Elle le pria d’aller prendre sa place au guichet, car elle craignait de traverser la salle d’attente où deux mé tayè res assises, un panier sur les genoux et branlant la tê te, tricotaient. (Mauriac) 6) Maintenant, dans le salon d’Argeluse, madame de la Trave n’est plus sensible qu’à la gê ne que chacun é prouve; elle observe les yeux de pie du fils Deguilhem fixé s sur Bernard. (Mauriac) 7) Nous avons au grenier des meubles qui s’abî ment, ç a ne nous coû terait rien de les leur prê ter... (Mauriac) 8) Dè s lors, ne nous é tonnons pas. (Saint-Exupé ry) 9) Ainsi tu comptes pour rien la peine de ton parrain qui te gâ te et qui sera furieux. (J.Renard) 10) Eh vous avez é té ravi naturellement? (Proust) 11) Vous avez dû ê tre enchanté , surtout si c’é tait la premiè re fois que vous l’entendiez. (Proust) 12) Oh! tu peux durcir ton vert de prunelle, ton vert-de-gris de poison de regard. Moi, je ne baisserai pas les yeux. (Bazin) 13) Je vous interdis de communiquer avec lui tant que dura cette quarantaine. (Bazin) 14) Au ré giment, où il devint sergent, il se lia avec un autre sergent, Levier, dont le pè re é tait contremaî tre dans un atelier de mé canique gé né rale. (Montherland) 15) Cette inspection gê nait fort M. Octave. (Montherland) 16) Elle é tait assise sur un fauteuil au bureau, dans une petite piè ce, dont les murs se trouvaient entiè rement caché s par les livres bien rangé s sur des planches de bois noir. (Maupassant) 17) Oui, mon capitaine, dit Robert. J’ai vu le terrain. (Lanoux)

 

23. Relevez les mots qui ont subi l’amé lioration ou la pé joration de sens et pré cisez leur sens é tymologique.

1) Cé cile doit ré ussir son examen de philosophie en octobre. (Sagan) 2) Il insista pour que d’aucune parole, d’aucun geste, elle ne compromî t un succè s si rapide si inespé ré. (Mauriac) 3) Il fallait, en tout cas, en courir la chance. (Mauriac) 4) Paysanne, terrienne, elle se mé fiait du né goce, et de ces fragiles fortunes sans cesse menacé es. (Mauriac) 5) Marché d’esclaves, disent les gars, c’est bien vrai. (Stil) 6) Le valet annonç a: « Madame de Marelle ». (Maupassant) 7) Bougre! Comment, la guerre dé claré e, battras-tu les Prussiens, sans savoir leur langue vivante. (J.Renard) 8) Mais les bourgeois semblent avoir besoin d’un nombre de piè ces inutiles proportionnel à celui des hectares sur lesquels s’é tend la domination de leurs redevances et de leurs chasses. (Bazin) 9) Je ne le mé prisais pas d’ê tre une sorte de rustre agressif et c’é tait plutô t ma longue silhouette de fils à papa qui me faisait honte. (Simenon)

 


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